Le premier cas de la montre résistant à l'eau, l'Oyster utilisé une vis-down caseback, couronne et lunette
Le "Octagon" forme moins populaire de cas
A l'intérieur du fond vissé vers le bas
La marque d'identification comme le travail du CJ Spillmann, juste lisible que "136"
Olex a fait quelque chose de vraiment étonnant en 1927: il a publié une montre - bracelet étanche à l' eau véritablement que, contrairement à des efforts antérieurs d'autres entreprises, ni l' air , ni senti inhabituelle, et pourrait être porté sur une base quotidienne. L'amateur Rolex expérimenté peut très bien reconnaître le modèle ci - dessus comme un exemple précoce de ce jeu-changeur historique: une première génération Rolex Oyster.
Cela rendrait 89 ans. Mais ses marques nous disent qu'il est, en fait, un an de plus que cela. Alors que les premiers modèles font date à partir de 1927 - célèbre, les Anglais nageur Mercedes Gleitze a été donné un à porter comme elle nagé à travers la Manche que Octobre - il était en 1926 que l'Oyster a été conçu et prototypé; et eneffet, celui qui est illustré ici est juste comme un prototype de 90 ans. Sur un tel anniversaire, les détails de comment et pourquoi l'Oyster est venu pour être méritent d' être examinées.
Hans Wilsdorf, fondateur de Rolex, n'a jamais été un horloger. Dans tous ses documents juridiques, il a donné sa profession comme «marchand» - quelqu'un qui achète et vend. Il est important de comprendre, parce que pour les cinq décennies et plus qu'il a dirigé le cabinet, Rolex n'a pas fait les montres à partir de zéro comme il le fait maintenant; plutôt, il les réunit. Les mouvements ont été achetés d'une entreprise et les cas d'un autre, de même que des cadrans, des bracelets et tous les autres composants. Rolex a été en mesure de prendre des objets couramment faites et les assembler en quelque chose de spécial, grâce notamment au talent de Wilsdorf pour repérer un trou dans le marché. Aujourd'hui, nous l'appellerions un génie du marketing, et rien n'illustre cette compétence plus que l'histoire de la Rolex Oyster.
La guerre des tranchées de la Première Guerre mondiale avait démontré les avantages de la montre-bracelet sur la montre de poche, et Rolex avait été l'un des premiers fabricants de montres de capitaliser sur ce changement. Mais dans les années suivantes les utilisateurs civils de montres-bracelets a eu deux plaintes: ils ne sont pas aussi précises que leurs montres de poche de vieux, et ils ont eu tendance à avoir besoin d'entretien beaucoup plus souvent que les montres de poche, puisque les huiles se sont bouchés avec de la poussière et de détritus ou les mouvements ont succombé à l'infiltration d'eau.
Le premier problème pourrait être prévu, puisque les petits mouvements destinés balanciers plus petits. Wilsdorf a tenté de surmonter les préjugés des acheteurs en soumettant plusieurs de ses montres pour tester aux deux laboratoires suisses et Kew pour prouver leur exactitude. Cela continue à ce jour, bien sûr, avec Rolex étant de loin le plus grand producteur de chronomètres certifié COSC.
Le deuxième problème, de la poussière et de l'eau envahir le mécanisme, a été beaucoup plus difficile à résoudre, bien que beaucoup avaient essayé. À l'époque victorienne, par exemple, les montres de poche utilisés par les explorateurs ont été équipés d'un bouchon vissé sur la couronne de remontoir, attaché au corps de la montre par une petite chaîne - un système maladroit qui a nécessité une couronne de remontoir très petite pour tenir sous le bouchon à vis. (Cette conception a été réintroduite, d'ailleurs, par Cartier dans les années 1990 avec le Pacha).
Les premières tentatives de faire une montre-bracelet résistante à l'eau est venu avec des montres "hermétiques" tubé du début des années 1920. Ici, la montre a été complètement enfermé dans un second boîtier externe, et peut être enroulé et fixé en dévissant la lunette et en retournant la montre sur sa charnière. Cette conception a eu deux problèmes majeurs, en raison de l'utilisation de l'or ou de l'argent pour les cas. Les deux étant des métaux très mous, le dévissage quotidien de la lunette a causé les filetages de vis et lunette moletage à l'usure, le premier sens que la montre était plus imperméable à l'eau et ce dernier ce qui signifie qu'il est devenu difficile de dévisser la lunette de toute façon.
Un lecteur attentif aura remarqué que ces deux premières tentatives ont porté sur la protection de la couronne, ce qui est le point d'entrée le plus évident pour les substances indésirables. Il fallait un procédé de fixation de la couronne et de la rendre imperméable à l'eau elle-même, et mai 1926 le destin est intervenu.
Wilsdorf aurait pris l'habitude de parcourir les entrées dans le registre suisse des brevets pour tout ce qu'il a pensé qu'il pourrait utiliser, et le brevet 114948 certainement équipé cette description. Elle a été déposée par deux messieurs de La Chaux-de-Fonds, Paul Perregaux et Georges Peret, et a proposé un système pour une couronne de remontoir qui vissée sur un tube fileté en saillie du boîtier. Comme la couronne était dans la position normale et inutilisé par un capuchon ou un cas supplémentaire, il était beaucoup plus facile à utiliser et donc beaucoup plus de chances d'atteindre le succès des ventes; Wilsdorf perdit pas de temps à acquérir le brevet de ses propriétaires, et en quelques mois la Rolex Oyster était sur le marché.
Ou alors l'histoire acceptée a, bien que des recherches récentes raffine l'histoire. Dans un article de 2010 dans l'US National Association of Watch & Clock Collectors (CNACTH) Bulletin, historien de la montre David Boettcher a montré que le brevet a été en fait transféré à un Charles Rodolphe Spillmann, qui possédait une société de rembordage à La Chaux-de-Fonds, le 19 Juillet, 1926. Puis, cinq jours plus tard, il a été transféré de Spillmann se Wilsdorf - fait intéressant, pas Rolex directement. Après cinq jours, le 29 Juillet, M. Wilsdorf a enregistré la marque "Oyster" et le paquet a été complète: cas, la couronne et le nom étaient tous en place.
Je crois que Spillmann était beaucoup plus qu'un intermédiaire utilisé par Wilsdorf pour dissimuler son intérêt dans le brevet. Je pense que Spillmann a le brevet Perregaux / Perret se Wilsdorf, et lui a expliqué comment combiner cette couronne avec un boîtier étanche, il avait récemment inventé pourrait faire la première montre étanche le monde. Bien que je n'ai aucune preuve de cette théorie, si vous regardez l'image du caseback intérieur sur 1926 Oyster prototype la photo, vous verrez une petite tête de marteau au fond. Ceci est un timbre de colleuse suisse, et à l'intérieur il est le numéro 136, ce qui indique que le cas a été faite par CR Spillmann & Cie de La Chaux-de-Fonds. Cette marque peut être trouvé à l'intérieur presque tous or début Rolex Oyster cas, ce qui indique que la firme de Spillmann était seul responsable pour chacun d'eux.
T il conception du boîtier Oyster original lui - même est tout à fait intéressant, que le mouvement ne soit pas fixé directement sur le corps de boîtier. Au contraire, le cas est composé de trois parties: un cas central avec les pattes attachées à elle, et la lunette séparée et cas de retour, à la fois vis-à. Le mouvement, le cadran et les mains sont tenues dans un anneau de métal avec des filets extérieurs vissés, avec un trou à la position 3 heures et une broche à la position 9 heures. La bague est insérée dans le corps de boîtier, et la broche à 9 insère dans un trou correspondant dans le cas; la couronne et tige de remontoir sont ensuite montés dans le trou à 3 et la lunette et le fond sont vissés en place.
A cette époque, Rolex a fait beaucoup dans sa publicité sur l'utilisation de pas de liège ou de cuir rondelles dans ses montres, indiquant qu'il ne sert contact métal à métal; cela était vrai, mais il l'a fait utiliser un lave-linge à l'intérieur du caseback, afin d'assurer une parfaite étanchéité. Toutefois, cela a été fait à partir d'une mince feuille de plomb, qui déforme lorsqu'elle est vissée vers le bas pour permettre d'éventuelles irrégularités dans l'usinage des surfaces de caseback.
La forme du boîtier est connu comme un «coussin» et a été utilisé par Rolex et d'autres de la deuxième décennie du siècle, et Rolex se continué à faire usage jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. L'Oyster a également été lancé dans un style autre cas, l'Octogone, qui n'a jamais été aussi populaire que le coussin et qui a duré moins d'une décennie dans le catalogue de l'entreprise; très probablement parce qu'il a été considéré comme regardant l'ancienne même alors.
Comme avec toutes les montres Rolex de la période, les mouvements ont été faites par Aegler à Bienne, et ce mouvement particulier a été connu sous le nom de 10½ Hunter: 10½ étant la taille en lignes (23.7mm) et "Hunter" étant la disposition de la conception de la montre , ce qui signifie que la couronne de remontoir est à 3, comme dans une montre de poche chasseur (une avec un couvercle qui se referma sur le cadran), plutôt qu'à 12, comme dans une montre de poche en plein visage.
Les mouvements sont venus en trois versions: Prima, Extra Prima et Ultra Prima. Elles sont toutes les 15 constructions de pierres précieuses, et différenciés que par les tests de synchronisation effectués après la construction: les meilleurs 10 pour cent ont reçu la désignation Prima Ultra convoité, tandis que le solde a été réparti entre Prima, qui étaient moins précises et Extra Prima, qui tombé entre les deux. Les montres Ultra Prima ont également été généralement marqués comme tels sur le cadran, comme on peut le voir dans ce cas.
